Christine Orban

Virginia Ile Vita

Pouvez-vous répondre à une seule question ? Si je vous parle et que vous parveniez à me guérir, ce sera pour vivre quoi ? Un roman qui se lit comme une leçon de vie.

Deux Fois Par Semaine

Ricordati di essere felice

A best-selling French novelist recounts the idyllic childhood she shared by the Moroccan sea with her beloved sister, who suffered an ill-fated marriage to a handsome Muslim, a divorce that separated her from her children, and a mysterious early death. 18,000 first printing.

One Day My Sister Disappeared

« Je me suis entendue prononcer ces mots de manière désincarnée, comme si cétait une autre qui parlait. Pas moi. Pas ma soeur. Une autre. Et pourtant je dois me répéter l'horrible vérité pour l'admettre : Ma soeur est morte. » Un récit poignant, tout imprégné des parfums du Maroc, de la gaieté des années d'enfance, du charme insouciant de l'adolescence, d'une tendresse infinie à jamais présente, pour conjurer le sort, pour repousser l'inéluctable, pour ne jamais oublier.

L'Ame soeur

Una locura por amor

Tatiana de Rosnay

Didier Van Cauwelaert

Daniel Picouly

Yann Queffélec

Irène Frain

Harold Cobert

52 nouvelles déjantées écrites à 7 mains par de grands noms de la littérature !

52 cadavres exquis

« Très tôt j'ai su qu'il faudrait appeler les mots à mon secours.J'avais découvert que certaines phrases avaient le pouvoir de calmer la mélancolie, la tristesse ou le chagrin.Voici celles qui m'ont aidée et continuent de m'accompagner.Les mots sont mes amis, j'espère qu'ils deviendront les vôtres. »Christine Orban.Mots d'auteurs célèbres, phrases entendues ou bien inventées au fil de l'expérience ou de l'observation, ce sont des mots chargés d'une intense vérité qu'a recueillis Christine Orban - ces mots qui lui permettent de surmonter les épreuves, et de cheminer toujours plus sereinement. « C'est un petit livre qui n'a l'air de rien. Un Delerm de la philosophie perso. Justement, l'air de rien, ces petites phrases bien tournées, accumulées, rangées dans leurs intitulés thématiques remplissent leur modeste mission : nous aider à être. » Catherine Schwaab, Paris Match.

Petites phrases pour traverser la vie en cas de tempête... et par beau temps aussi

Très tôt, j’ai compris qu’un mot n’était pas qu’un mot, que chacun d’entre eux était lourd d’une volonté de dire, d’une histoire, et qu’il fallait passer du temps avec eux pour qu’ils nous livrent leur secret. Il y a des mots qui nous accompagnent une partie de notre vie, puis disparaissent mais restent à leur façon. C. O.[...] tous ces détails minuscules et bavards qui font les phrases, les romans et les vies. Marine de Tilly, Le Point.

Suivi de La vie m'a dit...

Petites phrases pour traverser la vie en cas de tempête...

" Que pouvait-il me demander de plus ? l'inimaginable, il l'a pourtant imaginé. Il ne m'a pas dit : je veux peindre ton sexe, les jambes ouvertes. Non, ce fut dit différemment. Mais dit. Comment a-t-il osé ? Comment ai-je pu accepter ? " En 1866, Gustave Courbet peignait " L'origine du monde ", œuvre sulfureuse et teintée de mystère, longtemps tenue à l'abri des regards indiscrets. Christine Orban fait revivre sous sa plume Joanna Hifferman, modèle imaginaire de ce tableau unique, fruit d'une démarche artistique poussée à l'extrême et de la folle amoureuse d'un homme. Après avoir livré son corps, c'est le trouble d'un choix que la jeune femme vient exposer crûment. Que sont la honte et la pudeur face au génie ?

J'étais l'origine du monde

" Que pouvait-il me demander de plus ? L'inimaginable, il l'a pourtant imaginé. Il ne m'a pas dit : "Je veux peindre ton sexe, les jambes ouvertes. "Non, ce fut dit différemment. Mais dit. Comment a-t-il osé ? Comment ai-je pu accepter ? "

roman

Elle a vingt ans, et son premier roman vient d'être accepté par un éditeur. Ce jour d'été, au bord de la mer, aurait dû être le plus heureux de sa vie, si Beau-Père ne l'avait pas réduite à un corps dont la beauté serait le seul atout. Debout, au-dessus d'elle, il lui avait lancé devant tous les invités : « Avec le corps qu'elle a, ça va être facile pour elle... » Ces mots vont fracasser son existence pendant des années et la mener au bord du gouffre. Dans ce roman, Christine Orban explore, avec une grande sensibilité et des accents fitzgéraldiens, les « blessures invisibles » d'une jeune femme, et sa difficulté d'être elle-même dans un monde où triomphent les apparences et la domination masculine.

Christine Orban

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