Jean Paulhan

Marquis de Sade

Béatrice Didier

Les Infortunes de la vertu

Pauline Réage

Enfin une femme qui avoue ! Qui avoue quoi ? Ce dont les femmes se sont de tout temps défendues (mais jamais plus qu'aujourd'hui). Ce que les hommes de tout temps leur reprochaient : qu'elles ne cessent pas d'obéir à leur sang ; que tout est sexe en elles, et jusqu'à l'esprit. Qu'il faudrait sans cesse les nourrir, sans cesse les laver et les farder, sans cesse les battre. Qu'elles ont simplement besoin d'un bon maître, et qui se défie de sa bonté...Jean Paulhan.

Histoire d'O

Oeuvres complètes

Mondadori

Pauline Reage

La peinture cubiste

Le tache aveugle

éloge

L'art informel

Jeannine Kohn-Etiemble

Voici donc le premier corpus complet, et qui couvre trente-cinq ans, des lettres de Paulhan a l'un de ses correspondants. Jean Paulhan " le Patron " ? Le " redoutable " Jean Paulhan ? Dire qu'il fut, entre 1925 et 1965 l'eminence grise de la N.R.F. et de la litterature, c'est au moins le reduire. Mais le mythe a la vie dure. Si Paulhan est en effet le plus efficace de ceux qui firent alors et faisaient faire la litterature - parfois la meilleure - au nom de quoi la faisait-il, et la faisait-il faire ? " Pas une idee qui ne passe par la politique, ecrivait-il. Bien heureux quand elle ne s'y arrete pas. " Voici un " bien heureux " qui nous arrete, car entre les lignes de ces lettres il faudra lire des contradictions qui agitent, s'agitent et ne se resolvent pas. L'Histoire les aura en partie resolues, malgre la N.R.F. et souvent contre celle-ci. Entre 1934 et 1940, entre 1945 et 1965, c'est-a-dire entre l'inflation, le rendement, le 6 fevrier 34, les luttes ouvrieres, la guerre d'Espagne, les fascismes francais, les autres, la Resistance et ses confusions, la collaboration et ses compromissions, d'une part ; de l'autre la Liberation, le Comite national des ecrivains (C.N.E., ou Cene), puis la guerre d'Algerie. On lutte, on veut lutter. Selon quelles methodes ? Au nom de quelles valeurs ? La litterature se decouvre deja un en soi, qui voudrait bien se proteger de l'exterieur, mais sa mauvaise conscience se trouve de nombreux alibis : etre " de gauche ", etre " de droite ". Les clivages ne sont pourtant pas aussi simples. A preuve Jean Paulhan, qui flotte entre Blum, de Maistre, Maurras, Chesterton et Lao-Tseu, d'Aragon a Sartre en passant par Drieu, Fernandez, Celine, les Rose-Croix, Guenon, le Tao et le Zen. Son interlocuteur - ici provisoirement silencieux - croit, lui, qu'il y croit. Mais a quoi, au juste ? (La Raison est-elle toujours une bonne raison ?) Il croit au Pere, en tout cas, ce Jean Paulhan tout-puissant sur lui, ici partout present, et qu'il faudra tuer, a l'age d'homme. 226 lettres de Jean Paulhan, ou le triomphe des individualismes luttant pour le bien de tous... et la vanite des " artistes ".

contribution à l'étude du mouvement littéraire en France, 1933-1967

226 lettres inédites de Jean Paulhan

À demain, la poésie

Le marquis de Sade et sa complice, ou, Les revanches de la pudeur

Carl Einstein

Uwe Fleckner

Karen K. Butler

Renée Maurer

Patricia Favero

Eric Trudel

This examination of Braque's career features exquisite reproductions and incisive historical and aesthetic investigations of his work leading up to and during World War II. This book offers the first detailed examination of Braque's experiments with still lifes and interiors during a significant, though overlooked, time in his career. One of the leading founders of Cubism, Braque employed the genre of the still life to conduct a lifelong investigation into the nature of perception through the tactile and transitory world of everyday objects. Examining a transitional time between Braque's early Cubist works and his late grand series, this catalog considers his paintings within the cultural and political context of Europe at this time. Reproduced in vivid color, Braque's paintings are accompanied by scholarly essays that explore the rise of Braque's popularity in the US, including his first major retrospective in America, and the reception of his work of the early 1930s and 1940s by German and French critics, as well as a behind-the-scenes look at the materials and process employed by the artist as illuminated by an intensive conservation study of select important works.

Georges Braque and the Cubist Still Life 1928-1945

Paulhan's seminal work in English for the first time Les Fleurs de Tarbes, ou la terreur dans les lettres, first published as a single volume in 1941, was considered by Jean Paulhan to be the furthest-reaching expression of his thinking about literature and language. It is now recognized as a landmark text in the history of twentieth century literary criticism and in the emergence of contemporary literary theory. This is the first time it has been translated into English. The playful tone and quirky, casual style of Paulhan's writing mask a theoretical intent and seriousness of purpose that are extraordinarily prescient. In The Flowers of Tarbes Paulhan probes the relationship between language, meaning, context, intention and action with unremitting tenacity, and in so doing produces a major treatise on the nature of the literary act, and a meditation on what we might now call the responsibility or ethical imperative of literature itself.

The Flowers of Tarbes, Or, Terror in Literature

F.F., ou, Le critique

The first English translation of Jean Paulhan's major essays

On Poetry and Politics

Jean Paulhan

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