Kang Han

Deciding to renounce eating meat in the wake of violent dreams, Yeong-hye, a woman from a culture of strict societal mores, is denounced as a subversive as she spirals into extreme rebelliousness that causes her to splinter from her true nature and risk her life.

A Novel

The Vegetarian

Follows the aftermath of a young boy's shocking death during a violent student uprising as told from the perspectives of the event's victims and their loved ones.

Human Acts

La vegetariana

From the winner of the Man Booker International Prize for The Vegetarian comes a stunning meditation on the colour white; about light, about death and about ritualFrom the winner of the Man Booker International Prize for The VegetarianBoth the most autobiographical and the most experimental book to date from South Korean master Han Kang. Written while on a writer's residency in Warsaw, a city palpably scarred by the violence of the past, the narrator finds herself haunted by the story of her older sister, who died a mere two hours after birth. A fragmented exploration of white things - the swaddling bands that were also her shroud, the breast milk she did not live to drink, the blank page on which the narrator herself attempts to reconstruct the story - unfold in a powerfully poetic distillation. As she walks the unfamiliar, snow-streaked streets, lined by buildings formerly obliterated in the Second World War, their identities blur and overlap as the narrator wonders, 'Can I give this life to you?'. The White Book is a book like no other. It is a meditation on a colour, on the tenacity and fragility of the human spirit, and our attempts to graft new life from the ashes of destruction.(photographs in print edition only)

The White Book

Una palestra comunale, decine di cadaveri che saturano l’aria di un «orribile tanfo putrido». Siamo a Gwangju, in Corea del Sud, nel maggio 1980: dopo il colpo di Stato di Chun Doo-hwan, in tutto il paese vige la legge marziale. Quando i militari hanno aperto il fuoco su un corteo di protesta è iniziata l’insurrezione, seguita da brutali rappresaglie; "Atti umani" è il coro polifonico dei vivi e dei morti di una carneficina mai veramente narrata in Occidente. Conosciamo il quindicenne Dong-ho, alla ricerca di un amico scomparso; Eun-sook, la redattrice che ha assaggiato il «rullo inchiostratore» della censura e i «sette schiaffi» di un interrogatorio; l’anonimo prigioniero che ha avuto la sfortuna di sopravvivere; la giovane operaia calpestata a sangue da un poliziotto in borghese. Dopo il massacro, ancora anni di carcere, sevizie, delazioni, dinieghi; al volgere del millennio stentate aperture, parziali ammissioni, tardive commemorazioni. Han Kang, con il terso, spietato lirismo della sua scrittura, scruta tante vite dilaniate, racconta oggi l’indicibile, le laceranti dissonanze di un passato che si voleva cancellato.

Atti umani

In una Seoul rovente e febbrile, una don­na vestita di nero cerca di recuperare la parola che ha perso in seguito a una serie di traumi. Le era già successo una prima volta, da adolescente, e allora era stato l’in­solito suono di una parola francese a scar­dinare il silenzio. Ora, di fronte al riaffio­rare di quel mutismo, si aggrappa alla ra­dicale estraneità del greco di Platone nel­la speranza di riappropriarsi della sua vo­ce. Nell’aula semideserta di un’accademia privata, il suo silenzio incontra lo sguardo velato dell’insegnante di greco, che sta per­dendo la vista e che, emigrato in Germa­nia da ragazzo e tornato a Seoul da qualche anno, sembra occupare uno spazio limina­le fra le due lingue. Tra di loro nasce un’in­timità intessuta di penombra e di perdi­ta, grazie alla quale la donna riuscirà for­se a ritornare in contatto con il mondo. Scritto dopo «La vegetariana» e definito dal­ la stessa autrice «quasi un suo lieto fine», «L’ora di greco» si insinua − avvolto in un bozzolo di apparente semplicità − nella mente del lettore, come un «assurdo indimostra­bile», una voce limpida e familiare che ar­riva da un altro pianeta.

L’ora di greco

Vegetarianen

Blanco

Ik zeg geen vaarwel

O libro branco

Den vita boken

Vegetarian

Nadchodzi chłopiec

Quelle est la frontière entre la vérité et le mensonge, le présent et les souvenirs qui s'entrechoquent ? Lorsque sa meilleure amie, une jeune femme peintre, meurt dans un accident de voiture, Jeong-hee, la narratrice, est confrontée à un critique d'art qui prétend que la jeune femme, en réalité, s'est suicidée. Jeong-hee ne croit pas à ce suicide et découvre au cours d'une enquête parfois dangereuse et digne d'un détective, la fragilité de son amie et la souffrance dans laquelle elle a vécu. Cette recherche nous emmène à travers Séoul, dans l'hiver coréen, dans l'intimité du milieu artistique et le lecteur pénètre, par petites touches, dans une société à la fois proche et lointaine. Pars, le vent se lève est un livre plein de poésie et de tendresse, par lequel l'auteure nous dit que le plus important, c'est de vivre.

Pars, le vent se lève

Novel by the award winning author, who received the Man Booker International Prize in 2016 with The Vegetarian, taking as the background the democracy movement Kwangju in Korea 1980. It details how human can be so cruel with another human and at the same time humans can prove to be extraordinarily courageous in defending their ideals in helping another... Vietnamese translation by Kim Ngan.

tiểu thuyết

Bản chất của người

Blanc

Actes humans

Mai 1980 : une junte militaire a pris le pouvoir en Corée du sud quelques mois plus tôt. Après une spectaculaire manifestation d'opposants à Séoul, la ville de Gwangju se mobilise à son tour. Face à la répression, elle se soulève, portée par le mouvement étudiant et syndical pour la démocratie. La répression menée par l'armée est féroce : les civils, la foule, la jeunesse deviennent des cibles. Dans la ville ensanglantée, un jeune garçon erre à la recherche de ses camarades. Dans une maison d'édition, une jeune femme travaille sur un texte censuré. Dans le présent, des rescapés se souviennent. Et toutes ces âmes tourmentées demandent à trouver la paix. Sur une trame historique encore douloureuse, dans Le style pur et éthéré empreint de bouddhisme qui lui est propre, la romancière Han Kang se positionne face la résurgence d'une certaine idéologie autoritaire et rend hommage aux martyrs de la démocratie coréenne.

Celui qui revient

Muette, elle est assise au dernier rang de la classe. Habitué à son silence, le professeur se montre compatissant à son égard. Lui-même est atteint d'un mal inéluctable : sa vue se détériore de jour en jour. Alors qu'ils ne l'ont pas voulu, ni même espéré, le miracle se produit. A la faveur de leçons de grec, ces deux âmes blessées s'aventurent, main dans la main, sur le chemin de la grâce retrouvée.

Leçons de grec

Une nuit, Yônghye se réveille et va au réfrigérateur, qu'elle vide de toute la viande qu'il contient. Guidée par son rêve, elle a désormais un but : devenir végétale, se perdre dans l'existence calme et inaccessible des arbres et des plantes. Ce dépouillement qui devient le sens de sa vie, le pouvoir érotique, floral de sa nudité vont faire voler en éclats les règles de la société, dans une lente descente vers la folie et l'absolu.

Kang Han

About

Books

Join the club