Du fond de ma cabane Éloge de la forêt et du sacré
Vivre, ce n’est pas obéir à ce qu’on nous enseigne, nous dit Jean Désy dans son essai. C’est plutôt travailler à préserver le lien sacré qui nous unit à la rivière, à la montagne, à la cabane au fond du bois. Rien de plus vrai que le chant d’un oiseau, que le frémissement d’une truite dans l’eau glacée, que le vent qui balaie la toundra.