Ces histoires qui arrivent
Ces histoires qui arrivent
Tout commence à Lisbonne, un trajet à bord du célèbre tram 28 mène le narrateur au cimetière où est enterré son ami, l'écrivain italien Antonio Tabucchi. Il laisse un mot sur sa tombe, et c'est le prétexte pour revenir sur le cours de leur histoire commune. Avec cette écriture qui offre d'infinis allers-retours dans le temps, Roberto Ferrucci rappelle l'engagement de cet ami qui "n'aimait pas l'Europe des banques", et qui était plutôt de ceux qui ouvrent les frontières intellectuelles.