Victoire du nazisme Mauvaises nouvelles
« Je suis une ligne simple, je l'ai déjà dit : si je n'invente pas l'histoire, elle n'existe pas. J'applique cependant ce précepte au seul passé, celui qui est dûment avéré et consigné. L'invention du passé est plus intéressante que celle du futur qui n'est que trop prévisible. »Les dix-neuf nouvelles qui composent ce recueil sont toutes mauvaises. La pire est incontestablement, à l'instar de son titre, Victoire du nazisme : trop longue, larmoyante, nombriliste, décousue et contrefactuelle. Les autres sont heureusement plus courtes.