Le poids des héros
La 4e de vouverture indique : "Mon grand-père n'est pas mort avant Franco. C'était un homme brisé mais habité par une détermination implacable à tordre sa ligne de vie pour ne pas être enterré avant son bourreau. C'est six mois après l'annonce du décès du "Caudillo" qu'Antoine Soto, s'éteint paisiblement dans son sommeil. Parti mais plus présent que jamais à nos côtés. Près du piano il y avait cette peinture, son portrait avec ce regard perdu, un tableau d'une tristesse terrible."