La duchesse et le roturier
Pour le plaisir de retrouver en 1947 des personnages qui gravitent autour de la grosse femme de la rue Fabre. Mario Pelletier a bien noté que ce tome est moins dense, d'écriture moins soignée, plus "complaisant" que les précédents, que le "prosélytisme populiste plutôt naïf" de Tremblay "rapetisse sa vision de romancier". Mais l'essentiel n'est pas là : ##La duchesse et le roturier## est avant tout "une plongée étourdissante de verve et de gaieté" dans le monde du théâtre populaire québécois des années 1940 (La Poune, Juliette Pétrie, les soeurs Giroux, etc.).