Le dernier jour d'un condamne, Claude Gueux romans
Victor Hugo n'a jamais appris à vivre loin des enjeux de son siècle. En 1832, le jeune auteur phare du romantisme rédige l'important plaidoyer qu'est la préface du Dernier jour d'un condamné, publié trois ans plus tôt, et la conclusion de Claude Gueux, qui paraîtra deux ans plus tard. Sous des formes, des tonalités, des angles différents, ces deux oeuvres, les plus courtes de sa production romanesque, creusent une seule et même question, brûlante dans l'actualité de l'époque : la peine de mort, ce mal absolu dont, au fil de sa vie, par la voix et par la plume, cet homme épris au plus haut point de justice ne cessera de demander, pour reprendre les termes d'un discours fameux de 1848, " l'abolition pure et simple et définitive ".
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