Le temps qui m'a manqué suite inédite de La détresse et l'enchantement
Quatre premiers chapitres (les années 1939-1943), de la troisième partie d'une autobiographie qui devait en comporter quatre et dont les deux premières ont été publiées en 1984 à titre posthume. L'oeuvre s'articule à partir d'un voyage en train de Montréal au Manitoba où la mère de G. Roy vient de mourir (en juin 1943). C'est l'occasion pour l'auteure de réévaluer son travail de journaliste et d'écrivaine, etc. Notes et variantes, p. 97-102. Comme le soulignent les éditeurs, malgré son inachèvement relatif (trois versions ont été retrouvées), cet "écrit ultime" allie la "beauté" à la "plénitude" (cf. p. 7-10). [SDM].