Jules Barbey d'Aurevilly

" Dieu, le créateur de toutes les réalités, n'en défend aucune à l'artiste, pourvu que l'artiste n'en fasse pas un instrument de perdition. " Se référant à la scène sublime qui ouvre Richard III de Shakespeare, Barbey d'Aurevilly se permettra tout dans ses récits de passion et de haine. Le comte de Ravila aimait l'amour, Albertine et Hauteclaire aussi ; la comtesse de Savigny et le duc de Sierra Leone, eux préférèrent l'honneur. Ses diables de femmes semblent échappées d'une toile de Delacroix. Le feu de l'enfer brûle ces pages mais c'est pour mieux " épouvanter les âmes pures ", clame l'auteur, le jour de son procès. " Ou il faut renoncer à peindre le cœur humain, ou il faut le peindre tel qu'il est. " Préface, commentaires et notes de Jean Decottignies.

Les diaboliques

Un homme, Marigny, pris entre une sylphide et une catin. La sylphide, c'est sa femme, Hermangarde ; la catin : Vellini, une Espagnole qui n'est même pas belle mais lui a empoisonné le cœur, le sexe et le sang. Marigny, retiré dans le Cotentin, s'est juré de rompre. Mais, un jour qu'il se promène à cheval le long de la mer, il retrouve Vellini ; et la pure Hermangarde, dans une des scènes les plus «diaboliques» de l'œuvre de Barbey, sous une effroyable tempête de neige, assistera, collée à la fente d'une fenêtre, aux furieux ébats du couple et manquera d'en mourir. «Tu passeras sur le cœur de la jeune fille que tu épouses pour me revenir !» avait prédit la Vellini. Publié en 1851, le roman fit scandale mais Théophile Gautier déclara : «Depuis la mort de Balzac, nous n'avons pas encore vu un livre de cette valeur et de cette force.»

Une vieille maîtresse

Paul Morand

Edition originale, 1851. Récit romancé d'une expérience amoureuse vécue. Impitoyable dissection d'une liaison de l'auteur, en 1843, "avec une Espagnole chaude et perverse" (cf. la préface, p. 7-23). Dossier, p. 497-537 (chronologie, dédicaces, histoire du roman, notes, etc.).

Perde Arkası

Η Ωραιότερη Αγάπη του Δον Ζουάν / Από τη Ζωή της Μαρκησίας Πομπαντούρ

suivi de Léa

Le cachet d'onyx

M. Barbey d'Aurevilly est une des plus fortes vocations littéraires que je sache ; et sa maîtresse faculté, sa plus belle force, son plus grand souffle, à lui, c'est l'expression, c'est-à-dire le don de l'irrésistible éloquence. L'enthousiasme flambe continuellement dans ce livre et promène sur toutes les pages sa terrible langue de feu, ondoyante et multiple... "

Un prétre marié

This study looks behind the mask of English society in the Regency period to show how life can be lived as ironic performance. The implication for today's obsession with fashion and personality makes this book on dandyism--the cult of the self--marvelously timely.

Dandyism

The Diaboliques

Les bas-bleus

Les oeuvres et les hommes

Les historiens

Dandies were men who placed a particularly high value upon their physical appearance and fashion, or how they were turned out. Often, they?styled themselves?as gentlemen despite coming from a middle-class background. George "Beau" Brummell was the leader of this group in Regency England.

Of Dandyism and of George Brummell

Les textes

Disjecta membra

What is a dandy? Carlyle said he was a man whose "existence consists in the wearing of clothes." Isak Dinesen worshipped the freedom of the aesthete as a special Satan. But even these definitions are not enough to contain the dazzling originalities of Lord Chesterfield, Oscar Wilde, George Sand, Max Beerbohm, Baudelaire, Jean Cocteau--all of them dandies. Jules Barbey D'Aurevilly's jewel-like writing on the sensibility of dandyism has never been equaled as the study of life lived as style. His Dandyism, with a new preface by Quentin Crisp, is now back in print in America after an absence of nearly a century. The implication for today's obsession with fashion and personality make this 1845 study of the cult of the self as timely and thoughtful as ever. In the spectacles of contemporary society, the body easily becomes a cultural text. Barbey d'Aurevilly looks behind the mask of English society in the Regency period to show how life can be lived as ironic performance. In his own magnificent performance as a writer one can feel the aroma of manners exuded by the eponymous Beau Brummell who is the star of this miniature portrait of elegant hedonism and spectacular decline. "Brummell was descended from the people of the north, lymphatic and pale, like their mother the sea ...." are the words he uses to describe the Englishman. No wonder his contemporary Lord Byron said he would rather be Brummell than Napoleon. Jules Barbey d'Aurevilly himself lived the life of a dandy in an age that was beginning to define our idea of modernist sensibility. He wrote over fifty volumes of novels, short stories, criticism, and letters, one of the most provocative his study of women, The Diaboliques. He was also the model for Des Esseintes in Huysmans' decadent novel Against Nature. Barbey d'Aurevilly died in 1889, at the age of eighty, in utter poverty but surrounded by his Angora cats.--Adapted from dust jacket.

Jules Barbey d'Aurevilly

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